🦑 ・Clan Hōzuki - 🆕

Histoire du clan Hōzuki

Selon les légendes les plus anciennes, les Hōzuki ne seraient pas nés sur la terre ferme. On raconte qu’ils ont émergé des failles abyssales du Pays de l’Eau, là où la lumière ne pénètre jamais et où la pression réduit les os en poussière. Façonnés par une entité que certains appellent la Mer Noire, ils seraient apparus comme des êtres liquides, à mi-chemin entre l’homme et l’océan.

De ce mythe est né leur Kekkei Genkai, le Suika no Jutsu, l’art de la liquéfaction. Capables de transformer leur chair, leurs organes et leurs muscles en eau pure, les Hōzuki défient les lois de la biologie et de la torture. Mais si ce pouvoir semble inné, nul ne sait aujourd’hui comment il leur fut transmis. Les secrets ont été effacés volontairement, et plus personne n’ose les interroger.

Dès les premiers temps de Kirigakure, les Hōzuki se sont imposés non comme des guerriers sanglants, mais comme des architectes du pouvoir. Ils ont fondé des alliances, signé des pactes, et dicté les règles de l’ombre. Six des huit Mizukage furent issus de leur lignée, inscrivant leur nom dans chaque époque de la Brume.


Philosophie et Techniques

Un Hōzuki ne tue pas par colère. Il tue par nécessité. Leur philosophie est simple : le pouvoir est une chaîne, et chaque ennemi un maillon à briser ou à posséder. Là où les Hoshigaki glorifient la force brute et les Karatachi l’assassinat silencieux, les Hōzuki privilégient la manipulation, l’intelligence et la maîtrise absolue de la hiérarchie.

Leur art martial, le Suika no Jutsu, est autant une arme qu’un outil politique. Grâce à la liquéfaction, ils survivent là où d’autres meurent, s’infiltrent là où nul ne passe, et échappent à la torture comme à la mort. Mais leur véritable héritage réside dans les rituels secrets de juinjutsu, qui lient les corps et les âmes à la volonté du clan.


Organisation et Culture

Chez les Hōzuki, tout repose sur une hiérarchie stricte. Le statut est inscrit dans le sang : ceux des lignées supérieures commandent, ceux d’en bas obéissent. Il n’y a pas de promotion, seulement la continuité d’une pureté imposée par le clan.

Leur culture s’articule autour du Pacte des Profondeurs, un rituel interdit qui lie les Hōzuki aux Yokushin, des armes humaines créées dans les laboratoires souterrains. Ces esclaves, façonnés par génie génétique et scellés par des chaînes abyssales, sont possédés par leur maître jusqu’à leur mort. Pour les Hōzuki, un Yokushin n’est pas un serviteur : il est une extension de leur propre être.

La loyauté du clan est donc double : envers Kiri, mais surtout envers lui-même. Le sourire froid d’un Hōzuki n’est jamais neutre il annonce une dette, une promesse ou une condamnation.


Rôle à Kiri

Aujourd’hui, les Hōzuki dominent les sphères invisibles du village. Ils contrôlent la diplomatie, où chaque réunion devient une guerre silencieuse ; la science, où ils poursuivent les expériences interdites sur les corps fournis par les sections de la Brume ; la finance, où ils tiennent les autres clans par le contrat et la dette. Enfin, ils gardent la main sur le corps des Yokushin, ultime outil de soumission.

Ils ne sont pas les sabreurs, ni les spectres, mais les véritables architectes de Kiri. Ceux qui organisent, calculent et contrôlent, jusqu’à ce que la brume elle-même semble danser à leur rythme.


Relations et Influence

Les Hōzuki sont respectés autant que redoutés. Pour les clans alliés, ils représentent l’ordre et la stabilité. Pour les clans rivaux, ils sont l’incarnation de la manipulation glaciale, toujours prêts à transformer un pacte en chaîne. Leur héritage est celui d’un pouvoir invisible, mais inéluctable.


Les générations de kage du clan Hōzuki

  1. Hōzuki Gendagetsu - Premier Mizukage

  2. Hōzuki Rangetsu - Troisième Mizukage

  3. Hōzuki Suigetsu - Cinquième Mizukage

  4. Hōzuki Nagegetsu - Septième Mizukage

  5. Hōzuki Yogetsu - Huitième Mizukage

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